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Les violences qu'elles soient physiques, morales ou sexuelles peuvent laisser des séquelles profondes outre le choc émotionnel.

Obtenir la reconnaissance de ce que vous avez vécu apparaît souvent comme une étape cruciale dans le processus de réparation.

L'indemnisation de vos préjudices participe de ce processus, outre le soutien financier nécessaire qu'elle vous apporte.

 

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Si vous avez été victime d'une agression ou d'une autre infraction qui vous a causé des blessures physiques ou psychiques :

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Le premier réflexe est de déposer plainte, dans une gendarmerie, un commissariat ou par écrit auprès du Procureur de la République. Celle-ci permet de signaler les faits à la Justice et de déclencher la procédure pénale.

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Bon à savoir : les officiers et agents de police judiciaire ne peuvent refuser de recevoir votre plainte. Cela est spécifiquement prévu par l'article 15-3 du code de procédure pénale.

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Constituez-vous partie civile pour devenir acteur du procès pénal et tenter d'obtenir la condamnation de l'auteur de l'infraction (emprisonnement, amende, mesures d'interdiction...).

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Au terme du procès pénal, la juridiction répressive peut également condamner l'auteur de l'infraction à indemniser vos préjudices.

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Très fréquemment, l'auteur de l'infraction ne paie pas ou n'a pas la capacité financière de payer les condamnations. Il est alors possible de s'adresser au Fonds de garantie des victimes des actes de terrorisme et des autres infractions (FGTI) en passant par la saisine de la Commission d'indemnisation des victimes d'infractions (CIVI). Celle-ci peut aussi être saisie lorsque l'auteur de l'infraction n'a pas pu être identifié.

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La maîtrise des délais, des spécificités de la procédure pénale et du chiffrage de vos préjudices justifient de recourir à l'assistance d'un avocat.

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Celui-ci vous offre aussi écoute et soutien dans le cadre de cette épreuve qui peut vous contraindre à revivre des souvenirs éprouvants.

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